La maison est ce qui nous hante, Mark Fisher

Prendre soin de sa maison c’est prendre soin de soi.

Dans un monde incertain, en équilibre instable et en transformation perpétuelle, notre intérieur occupe une place centrale.

Il est notre havre, notre coquille, une extension de nous-même.

Pourtant, ce cocon peut parfois se muer en lieu de tourments, comme lorsqu’il devient le théâtre de violences intrafamiliales, trahissant ainsi sa vocation première de refuge.

Dans ce contexte, les maisons gélules, véritables allégories du care, se dressent en gardiennes réparatrices et protectrices.